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Fort William

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Fort William shoreline

TLes premiers habitants de la vallée d’Ottawa étaient les Anishnabes de la nation Algonquin. Une grosse partie de la Municipalité de Sheenboro est située sur la Rivière d’Ottawa qui a été un itinéraire pour les Premiers Nations dans les anciens temps et durant la traite des fourrures.

Les dossiers indiquent que les Anishnabes se sont réunis au Lac des Allumettes, une grosse section de la Rivière d’Ottawa à travers de ce qu’on appelle à ce jour, Petawawa. En conséquence, en 1821, la Compagnie de la Baie Hudson a envoyé un apprenti commerçant au Lac des Allumettes pour intercepter les Anishnabes quand ils venaient de leurs terrains de chasse et pour être les premiers à faire le commerce avec eux. En 1823 la Compagnie de la Baie d’Hudson a décidé d’établir un poste de commerce au Lac des Allumettes même s’ils avaient aussi un petit poste à Fort-Coulonge. Après que 5 années ont passé, plusieurs bâtiments on été ajoutés, la Compagnie a nommé ce poste de commerce Frontières Lac des Allumettes et plus tard Fort William. Ce nom dérive de William McGillivray, le directeur général de la compagnie du Nord-Ouest. Bien que le poste a été un site où un grand nombre des Algonquins ont commencé leur terrain de chasse, la quantité des fourrures n’a pas compensé pour les dépenses pour maintenir l’établissement. Dans les années 1830, sous le mandat de Nicholas Brown, le poste a ajouté une ferme pour vendre des dispositions pour les entreprises de bois pour leurs camps. Les entreprises de bois avaient besoin des légumes pour nourrir les travailleurs, pour nourrir leurs chevaux et des autres dispositions. Le poste a ajusté leurs marchandises pour les services de camps et les colons locaux.

Fort William beach and hotel in 1911

En 1844, le poste du Lac des Allumettes avaient repris plusieurs de les commerces avec les Algonquins dans la région. Sous la direction de Hector McKenzie, le poste était rentable. Plusieurs de les colons sont venus à la région dans les 1830, certains pour travailler dans le bois, et les autres pour chercher la terre. Certains ‘squatters’ Irlandais vivaient autour du poste et la Compagnie de la Baie d’Hudson a rapidement sécurisé le titre de 800 acres de terre pour les opérations du poste, comme l’agriculture.

Un magasin général a été construit en 1845, mais en 1852, quand un commerçant faisait l’élaboration du vin pour vendre à un marchand du bois, le magasin a brulé. Un autre magasin a été construit sur la fondation de pierre. La maison du chef de poste, encore debout à ce jour, était construit en 1846. Le magasin a aussi servi comme un bureau de poste et quand des bateaux à vapeur sillonnaient les rivières, ils arrêtaient au quai de Fort William, apportant des gens et des fournitures à la région.

Saint Theresa Church

Comme les Anishnabes sont traditionnellement réunis à Fort William, il y a un cimetière où plusieurs de leurs gens sont enterrés. En 1858, la Compagnie de la Baie d’Hudson a construit une petite église à Fort William; tous les deux, Anishnabes et des individuelles locaux ont assisté à ce chapelle. Originalement l’église était appelé St- Siméon mais il était renommé l’Église St-Theresa de la Petite Fleur. Les derniers réunis de les Anishnabes à ce chapelle étaient en 1885, ou 200 parmi eux ont assisté à la messe officié par Bishop Narcisse Lorrain de Pembroke. Le poste de commerce, l’église et le cimetière ont attiré les Anishnabes de les rivières qui se jettent dans la Rivière d’Ottawa à ce place dans l’été pendant qu’ils attendaient pour les missionnaires, un prêtre oblat, pour en venir à la Baie-James. En 1889, les missionnaires ont arrêtés leurs travailles à Fort William. Le Diocèse de Pembroke a pris la responsabilité pour la chapelle alors que le prêtre de Sheenboro a continué à avoir des messes dans la chapelle.

Hotel Pontiac in 1916

En 1869, la Compagnie a décidé de partir de la région et arrêter leurs opérations en raison de les coûts, la vive compétition et l’avenir du transport à vapeur.

Le site a été vendu à James McCool qui a construit l’Hôtel Pontiac en 1896, qui a éventuellement devenu une destination populaire en été. Les visiteurs de l’hôtel sont venu par bateau de vapeurs et ont resté a l’hôtel qui se trouve sur une des plus belles plages sur cette rivière. À son apogée, l’hôtel avait 60 chambres. Mary Pickford, le chouchou du cinéma muet, était une invitée à l’hôtel; Dan Ackroyd, une célébrité de l’écran de plus récentes, a aussi visité l’Hôtel Pontiac. Bien qu’une section de l’hôtel a été démolie, la structure originale demeure et des repas sont encore servi dans l’hôtel.

Fort William, 1973. Big crowd on the beach

Durant les étés, à chaque vendredi soir, la musique de violon peut être entendue de l’hôtel. Les gens écoutent la musique sur le perron et regarde le beau coucher du soleil. Les descendants de Mr. McCool restent encore dans la région. Certains d’entres eux, essentiellement la famille des Millers, géraient l’hôtel et le magasin pour un nombre d’années. D'autres, y compris les descendants des Pères de la Confédération, Thomas D'Arcy McGee, résident encore dans des chalets à côté de l'hôtel.

 

 


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